L'environnement réglementaire des banques américaines pourrait connaître des changements majeurs. Les dernières nouvelles indiquent que la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) des États-Unis prévoit de restreindre l'utilisation du "risque de réputation". Le conseil d'administration de la FDIC s'apprête à examiner un nouvel avis de proposition de règle visant à interdire aux régulateurs d'abuser du concept de "risque de réputation".
Cette tendance a suscité l'attention du marché sur l'industrie des actifs numériques. Bien que l'agenda de la FDIC n'ait pas directement mentionné les cryptomonnaies, les professionnels du secteur estiment généralement que cette initiative pourrait avoir un impact positif sur les services liés aux cryptomonnaies offerts par les banques. Le président par intérim de la FDIC, Travis Hill, a précédemment critiqué publiquement les organismes de réglementation pour avoir utilisé le "risque de réputation" comme prétexte pour empêcher les banques de mener des activités liées aux cryptomonnaies, comme permettre aux clients de transférer des fonds vers des échanges de cryptomonnaies.
Il convient de noter qu'en août de cette année, le président américain a signé un décret intitulé "Protection des banques de la liberté". Ce décret avertit que si les régulateurs abusent de leur pouvoir d'évaluation des risques réputationnels, cela pourrait entraîner la politisation ou l'interruption illégale des services bancaires. Bien que le décret ne mentionne pas spécifiquement les actifs numériques, son impact s'étend manifestement au domaine des cryptomonnaies.
Cette série de mesures indique que l'environnement réglementaire américain subit des changements subtils. D'une part, les autorités de régulation semblent réévaluer leur définition et application du "risque réputationnel" ; d'autre part, cela pourrait également ouvrir de nouvelles possibilités pour la participation du secteur bancaire sur le marché des actifs numériques. Cependant, l'impact concret reste à déterminer par la décision finale du conseil d'administration de la FDIC.
Avec le développement rapide des technologies financières à l'échelle mondiale, trouver un équilibre entre innovation et contrôle des risques est devenu un défi commun auquel sont confrontés les régulateurs de différents pays. L'ajustement de la politique américaine suscitera sans aucun doute une attention soutenue de la part du secteur financier mondial et pourrait également fournir de nouvelles références pour les pratiques réglementaires d'autres pays.
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ProofOfNothing
· Il y a 13h
Cette fois, le marché des cryptomonnaies peut à nouveau s'éclater.
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SingleForYears
· Il y a 13h
Est-ce que cela joue aussi ?
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AltcoinMarathoner
· Il y a 13h
vibes du mile 20... le fud réglementaire n'est qu'un autre mur à franchir, pour être honnête.
L'environnement réglementaire des banques américaines pourrait connaître des changements majeurs. Les dernières nouvelles indiquent que la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) des États-Unis prévoit de restreindre l'utilisation du "risque de réputation". Le conseil d'administration de la FDIC s'apprête à examiner un nouvel avis de proposition de règle visant à interdire aux régulateurs d'abuser du concept de "risque de réputation".
Cette tendance a suscité l'attention du marché sur l'industrie des actifs numériques. Bien que l'agenda de la FDIC n'ait pas directement mentionné les cryptomonnaies, les professionnels du secteur estiment généralement que cette initiative pourrait avoir un impact positif sur les services liés aux cryptomonnaies offerts par les banques. Le président par intérim de la FDIC, Travis Hill, a précédemment critiqué publiquement les organismes de réglementation pour avoir utilisé le "risque de réputation" comme prétexte pour empêcher les banques de mener des activités liées aux cryptomonnaies, comme permettre aux clients de transférer des fonds vers des échanges de cryptomonnaies.
Il convient de noter qu'en août de cette année, le président américain a signé un décret intitulé "Protection des banques de la liberté". Ce décret avertit que si les régulateurs abusent de leur pouvoir d'évaluation des risques réputationnels, cela pourrait entraîner la politisation ou l'interruption illégale des services bancaires. Bien que le décret ne mentionne pas spécifiquement les actifs numériques, son impact s'étend manifestement au domaine des cryptomonnaies.
Cette série de mesures indique que l'environnement réglementaire américain subit des changements subtils. D'une part, les autorités de régulation semblent réévaluer leur définition et application du "risque réputationnel" ; d'autre part, cela pourrait également ouvrir de nouvelles possibilités pour la participation du secteur bancaire sur le marché des actifs numériques. Cependant, l'impact concret reste à déterminer par la décision finale du conseil d'administration de la FDIC.
Avec le développement rapide des technologies financières à l'échelle mondiale, trouver un équilibre entre innovation et contrôle des risques est devenu un défi commun auquel sont confrontés les régulateurs de différents pays. L'ajustement de la politique américaine suscitera sans aucun doute une attention soutenue de la part du secteur financier mondial et pourrait également fournir de nouvelles références pour les pratiques réglementaires d'autres pays.